jeudi 3 janvier 2019

Pas d'amalgame


Pendant des années, les gouvernements de gauche ont hurlé « Pas d’amalgame ». Chaque fois qu’un islamiste ou un clandestin commettait un horrible crime, c’était immédiatement : « Pas d’amalgame ». À tel point que Manuel Vals avait été surnommé Monsieur Padamalgam.
Depuis quelques jours, « on », c’est-à-dire la presse subventionnée,  prostituée de l’Élysée (journal L’Immonde en tête), mais aussi le milliardaire de BFMTV, grand copain de Macron, tout ce joli club fermé accuse les gilets jaunes de commettre des violences. Ces petits marquis de la pensée unique sont trop contents de mettre dans le même sac la racaille des banlieues et les gilets jaunes. On peut leur crier : « Pas d’amalgame ! » Cela ne sert à rien puisque nous ne sommes que des sans-dents. N’ayant pas réussi à nous payer une Rolex avant l’âge de trente ans, nos opinions n’ont aucune valeur.

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