En ville, j’ai été frappé par la vulgarité criarde
de beaucoup de jeunes femmes. Un ami instit me dit que certains enfants commencent l’école
sans aucune notion de comportement civilisé, n’ayant, dans certains cas, jamais
utilisé de fourchette et de couteau pour manger, et ne sachant pas s’essuyer
après être allés aux toilettes. La semaine dernière, ce même instit avait souligné ce
sentiment : celui d’un véritable effondrement des mœurs parmi les jeunes
et les moins jeunes. Abdication complète des parents, attitudes agressives,
violence gratuite. Atmosphère de décadence qui évoque ce qui a dû se passer
vers la fin de l’empire romain. On dit que Byzance était tellement corrompue
qu’elle a, par curiosité morbide, ouvert ses portes aux barbares. Les Byzantins
ont été massacrés jusqu’aux dernier. On sait que les civilisations, comme
tous les êtres vivants, passent par un cycle de naissance, adolescence, maturité, vieillesse et mort, et je me demande si, vers la fin, cette mort n’est pas inconsciemment mais ardemment
désirée. Les saboteurs et destructeurs sont déjà parmi nous, d’ailleurs. Ils sont de deux
sortes :
D'une part, les Musulmans qui haïssent tout ce qui n’est pas musulman. Ils veulent nous changer, nous recréer à leur image : pas de musique, pas de danse, pas de romans, et une liste de tabous alimentaires, vestimentaires et sexuels qui transforment les être humains en zombies.
D'autre part, les
enfants et petits-enfants de soixante-huitards. Ils sont tellement malheureux de vivre dans des sociétés, certes imparfaites, mais malgré tout les plus prospères que le monde ait jamais connues ! Ils veulent ouvrir tout grand nos portes aux barbares. Ils
votent à gauche, bien sûr, mais un jour ils ne voteront plus du tout : ou ils seront massacrés par les soldats de la religion de paix et d'amour, ou ils n'auront aucun droit. Nous non plus, d'ailleurs.
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