De nos jours, il se trouve des musulmans, ou tout au moins des personnes élevées dans ce milieu, pour nous mettre en garde contre la cruauté, l'intolérance, et l'hypocrisie musulmanes. On pense à Salman Rushdie, bien sûr. En voici deux autres exemples :
« Continuez à allumer des bougies, à
faire des dessins, à vous câliner, à fanfaronner avec des « même pas
peur ! », à creuser le gouffre de la niaiserie avec des « Je
suis Charlie », « Je suis Paris », « Je suis Bruxelles »…
Non ! Je ne suis pas une ville ! Je suis en guerre !... Et quand
on est en guerre, on ne fait pas des bisous et des câlins devant la caméra de
BFM TV en guise de réaction aux attentats… Quand je vois la chef de la diplomatie
européenne Federica Mogherini, pleurnicher lors d’une conférence de presse,
j’ai envie de hurler : « Virez-moi cette conasse et mettez-moi une
Margaret Thatcher ou une Golda Meir ! »… Quand allez-vous cesser
d’être dans le pathos dégoulinant, pour réagir en véritables guerriers ?... Continuez à chouiner. En attendant, les islamistes
creusent vos tombes. »
(Myriam Ibn Arabi, professeur de
français à Arcachon, franco-marocaine, de
culture musulmane.
« Nous avons construit des outils pour
dénoncer le soviétisme et le nazisme, mais on peine à analyser le
phénomène de l’islamisme alors qu’il n’est pas si différent ».
Cette voix qui crie dans le désert est celle de Boualem Sansal, auteur algérien de plusieurs succès de librairie.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire