Pendant des
années, les gouvernements de gauche ont hurlé « Pas d’amalgame ».
Chaque fois qu’un islamiste ou un clandestin commettait un horrible crime, c’était
immédiatement : « Pas d’amalgame ». À tel point que
Manuel Vals avait été surnommé Monsieur Padamalgam.
Depuis
quelques jours, « on », c’est-à-dire la presse subventionnée, prostituée de l’Élysée (journal L’Immonde en
tête), mais aussi le milliardaire de BFMTV, grand copain de Macron, tout ce
joli club fermé accuse les gilets jaunes de commettre des violences. Ces petits
marquis de la pensée unique sont trop contents de mettre dans le même sac la
racaille des banlieues et les gilets jaunes. On peut leur crier : « Pas
d’amalgame ! » Cela ne sert à rien puisque nous ne sommes que
des sans-dents. N’ayant pas réussi à nous payer une Rolex avant l’âge de trente
ans, nos opinions n’ont aucune valeur.
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