Vu au travers du filtre de la presse française, Donald Trump
a « dérapé » en critiquant les footballers noirs qui ne se levaient
pas pendant l’hymne national. « Déraper » en novlangue de la pensée
unique, cela signifie ne pas s’exprimer comme la gauche. On en a profité pour
prédire que le président se rapprochait encore d’un cran de la destitution.
C’est le contraire qui s’est produit. Depuis le « dérapage »
de Trump, des millions d’Américains ne regardent plus le foot à la télé. La NFL
panique. Trump possède le don de savoir et de sentir ce que ressent l’Américain
moyen. Contrairement à 99% des hommes politiques, il n’a pas perdu le contact
avec la population, et il est de plus en plus populaire.
Le général Colin Powell s’est empressé de soutenir le
président, insistant sur le fait que les soldats morts au combat revenaient au pays
drapés dans ce même drapeau que certains footballers méprisent, et il a précisé que beaucoup
de ces morts étaient noirs. Ai-je précisé que le général Powell est noir ?
Ce mépris pour leur propre pays remonte, semble-t-il à
Cassius Clay qui, pendant l’hymne national, a baissé la tête et brandi le poing…
mais c’était après sa conversion à l’Islam et sa réincarnation en Mohamed Ali.
Il serait intéressant d’enquêter pour savoir jusqu’à quel
point l’Islam attise le racisme anti-blanc parmi les noirs.